Il y a tout juste un an, je commençais à écrire mon blog à la suite de l’erepday 2013.
Aujourd’hui, il s’agit de mon 100e article en 365 jours. Une moyenne donc de 3,6 jours pour un article alors que dans un premier temps, je me demandais s’il serait possible de tenir la longueur autour d’une ligne éditoriale axée sur la crise 2.0 et la réputation des entreprises.
Le but de ce blog était d’avoir une ligne éditoriale que n’avaient pas d’autres blogs. En effet, si le thème de l’e-réputation, du community management, du marketing et des réseaux sociaux étaient déjà abordés par d’autres très bons blogs, le thème de la réputation globale et des crises sur les réseaux sociaux étaient jusqu’alors non abordé, si ce n’est par des livres.
Autre paramètre, je me refusais à faire de mini articles sans aucun fond où on laisse le lecteur dans le même état qu’il était avant la lecture d’un de mes articles.
Je me refusais également aux traditionnels ” les 5 meilleurs…”. Mon but : poser mes idées et mes constats de recherche, en les vulgarisant afin de me servir du blog comme carnet de doctorant et également comme levier pour avoir des réactions à ce que je produisais.
Il a donc fallu trouver une vraie manière d’écrire, et adapter la lecture aux différents profils : certains lisant les articles en entier, d’autres picorant à travers ceux-ci.
C’est ainsi que la formule Introduction, Analyse (coupé en sous-titres), Conclusion est une marque de fabrique dans le sens où les gens pressés iront jusqu’à la conclusion pour retenir les éléments essentiels de l’article, quand certains iront pioché dans les différents sous-titres de l’analyse sans lire l’introduction (qui est utile pour ceux qui ne comprennent pas dans quel cadre on s’insère). Autre artifice, l’utilisation de gras pour les phrases essentiels et les points de théories afin de pouvoir lire de manière transversale. Enfin, l’incorporation d’options afin de pouvoir mettre en PDF les articles dans le but de les lire sur une tablette au fond du lit ou sur la banquette d’un transport en commun s’inscrit également dans cette démarche.
À une autre manière d’écrire, s’ajoutent également d’autres méthodes de KPI. Lorsque la majorité des blogs mesure le succès d’un article en fonction de son audience et du nombre de partages, je préfère largement le temps de lecture moyen ainsi que le nombre de personnes qui partagent en y ajoutant un commentaire. Car cela veut dire que l’article a intéressé au point tel que la personne ne se contente pas de cliquer sur deux boutons pour partager l’article. C’est également pour cette raison que je remercie chaque personne qui effectue cette démarche, car c’est à cela que l’on est payé, nous, blogueurs.
Je termine en vous faisant un petit récapitulatif des meilleurs articles et en remerciant tous ceux qui ont partagé des articles, qui les lisent, qui font découvrir ce blog à d’autres personnes et surtout à tous ceux qui ont échangé avec moi, ce qui m’aide à structurer ma pensée et à m’améliorer.
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