Voilà nous y sommes : le point de chute d’une année de travail. Et celle-ci ne fut pas de tout repos puisque le nombre de cas a augmenté. Ce sont donc pas moins de 104 cas que j’ai du traité statistiquement, et surtout en faire le récit et l’analyse. Un travail minutieux effectué seul, mais qui me donne une grande fierté : celle de pouvoir, en étant seul, donner à la communauté des communicants des statistiques précises et transparentes.
Pas de méthodologie nébuleuse réservée aux seuls clients, toutes les données sont disponibles et contestables puisque vous trouverez l’entièreté des cas disponibles ici. Si vous trouvez une crise qui manque ou une donnée inexacte, signalez-le moi !
Maintenant, je mens un peu en disant que j’étais seul puisque cette année, j’ai demandé l’aide du partenaire de ce blog, Visibrain, qui s’est chargé de la mise en page et des relations presses, mais qui m’a aussi accompagné tout au long de cette année pour vous fournir des analyses que j’espère les plus pointues possibles.
Au programme du livre blanc :
- Les principaux chiffres de l’année et les statistiques.
- Le palmarès des crises 2.0 : l’entreprise la plus touchée, le secteur le plus touché, les 5 plus grosses crises et les 3 plus idiotes.
- Les enseignements de 2015 et une question de fin : le bad buzz est-il mort ?
L’ensemble porte à le nombre de crises 2.0 disponibles sur ce site à 238 crises, chiffre assez astronomique que j’ai, moi-même, dur à croire.
Vous pouvez, comme d’habitude, télécharger ce livre blanc. Je voudrais uniquement remercier tous ceux qui partagent les articles ou qui laissent des commentaires, car c’est assurément le carburant qui me fait continuer cet observatoire des crises 2.0.
Bonne lecture !